L’ostéopathie peut agir à titre préventif (afin d’éviter l’apparition de la plainte), curatif (une fois que la plainte est apparue), ou d’accompagnement en cas d’affection incurable.
- Douleurs et traitements ostéo-articulaires : ayant une origine osseuse, ligamentaire ou musculaire
- Dysfonctionnements des différents systèmes : digestif, cardio-respiratoire, rénal…
- Séquelles traumatiques : suite de chutes, d’accidents, de gestes ou d’efforts répétitifs
- En période périnatale : douleurs articulaires, troubles digestifs…
L’ostéopathe peut intervenir à tout âge de la vie, dans toutes sortes de contextes de santé :
- Nourrissons: bilan post-accouchement, troubles digestifs (régurgitations, constipations, … ), troubles du sommeil, certaines déformations crâniennes, poussées dentaires…
- Enfants et adolescents : bilans, douleurs lors de la croissance osseuse, douleurs musculaires liées à la pratique d’un sport ou non, certains troubles ORL …
- Adultes : troubles musculosquelettiques (TMS), lombalgies, cervicalgies, douleurs musculaires, certains troubles de l’état général concernant le sommeil, des céphalées, des vertiges, de la fatigue…
- Séniors : maintien de la tonicité, entretien de la souplesse tissulaire …
Toutefois, l’ostéopathie ne peut se substituer aux thérapeutiques conventionnelles indiquées pour des maladies dégénératives, génétiques, infectieuses. Elle peut cependant s’inscrire, dans une stratégie pluridisciplinaire d’accompagnement du patient visant notamment à améliorer le confort de vie quotidien du patient.
Selon l’article 3 du décret 2007-435 du 25 mars 2007, l’ostéopathe ne peut effectuer les actes suivants :
- Manipulations gynéco-obstétricales
- Touchers pelviens
Selon l’article 3 du décret 2007-435 du 25 mars 2007, l’ostéopathe peut effectuer les actes suivants sous conditions d’une attestation médicale de non contre-indication :
- Manipulations du crâne, de la face, du rachis chez le nourrisson de moins de six mois
- Manipulations du rachis cervical